Le Canal
Un roman qui relate l’histoire étonnante de Philippe Bunau-Varilla ( X-1879-Ponts-83) qui s’est consacré au plus grand ouvrage de son temps…
Les 15 premières pages du livre sont feuilletables sur le site de la Fnac
Résumé :
Philippe, brillant polytechnicien, est à 26 ans directeur général de la Compagnie Universelle du Canal de Panama. Son frère Maurice dirige le Matin qui tirera à plus d’un million d’exemplaires. Les deux frères ont trouvé un terrain d’expression de leur complicité et de leur rivalité. Ils ont épousé les deux sœurs, jeunes femmes modernes de cette fin de siècle.
Après l’échec des dernières souscriptions et la faillite, viennent les procès et la commission d’enquête parlementaire : le scandale ébranle la Troisième République. Cette combinaison de la finance, de la presse et de la politique éveille chez le lecteur d’aujourd’hui un étrange sentiment de modernité. Le temps passe et l’Affaire Dreyfus déchaine d’autres passions. Fera-t-elle oublier Panama ?
Après un moment d’abattement, Philippe sillonne l’Europe et l’Amérique à la recherche de nouveaux soutiens. Alors qu’on le dit fou au quai d’Orsay, il obtient une entrevue avec le Président Roosevelt et retourne dans l’isthme pour organiser la révolution : Panama fait sécession de la Colombie. Le traité entre le nouvel état et les Etats-Unis portera son nom.
Bernard Mandagaran est ingénieur civil des Ponts et Chaussées. Après un début de carrière dans l’administration de l’Equipement, il s’oriente vers la filiale autoroutière de la Caisse des Dépôts, puis vers un grand groupe de travaux publics, pour enfin fonder son propre bureau d’études. Il est maire adjoint d’une ville moyenne des Yvelines et participe activement à plusieurs ateliers d’écriture.